2011 – Pays-de-Loire : Quimiac – StAndréDesEaux……

  • Lundi 25 Avril : « On the road again »

Quimiac – StAndréDesEaux : 35kms

Départ imminent
Pique-nique et changement de couche
..... Test in Progress ... please wait .....
Ch'suis le plus malheureux de petit garçon !
Visite d'un héron lors de la pause déjeuner
Tiens ... Mr Grimace est avec nous
Apéro et dîner

Auteur : Clément
.... et Maman poussait ...
... le Quizz du jour : kécecé ? (auteur : Clément)
Non, je crois que je n'aime pas du tout la Danette au chocolat

La trace du jour : Visualiser la trace

La journée :

Et oui, ayé, enfin on a pu dire à Clément que ces vacances-ci on partait en camping !

Après un premier jet de route autour de Bruz, au final , on part de Quimiac, une fois après avoir fait le plein de chocolat des cloches de Pâques.

Aujourd’hui, petite étape, car comme on a rien à plier, on va sans doute partir tard de la maison, et ben ça n’a pas loupé, levé 08h30 et départ à 11h24 , exactement !

Rien de bien transcendant, me direz-vous, la première étape ne faisant « que » 35kms, on est en territoire connu, et bien détrompez-vous, car c’est bien connu qu’on ne connait pas le coin où on habite. Et en effet, on découvre qu’il y a des voies vertes en direction de Guérande, bien lisse, droite, dans les champs, bref, idéales pour se remettre en jambes, car la tête , elle est déjà en plein rêves.

Ça fait presque un an qu’on a pas roulé en mode cyclo-camping et pourtant, c’est comme si on venait tout juste de raccrocher d’une étape. C’est super, on est dépaysé immédiatement, les enfants sont super et super heureux, épanouis et excités du voyage. Martin tout seul dans sa carriole, ne manque pas de me faire coucou lorsque j’arrive à sa hauteur. Clément n’a qu’un idée en tête : être devant et surtout redoubler Maman qui aurait l’audace de prendre la tête, même si c’est elle qui guide la troupe avec le GPS.

GPS qui nous aura quand même fait cafouiller du coté de Guérande, à la recherche d’un petite route qui n’existe plus et remplacée par une bien plus passante et bien plus désagréable en vélo. La route à touristes en 4*4 qu’on fait c….r en vélo .. mais moi j’aime bien les e……r avec les gros 4*4.

Dans l’ensemble quand même, les automobilistes ne nous auront pas trop embêtés. Juste Guérande, qu’on oubliera bien vite pour la pause midi au bord de l’étang de Sandun. Rien d’exceptionnel mais un excellent endroit pour pique-niquer au bord de l’eau avec la visite d’un superbe héron, qui ne fera pas lever un sourcil de Clément ! Trop occupé au sauter dans tout les sens, à jouer au ballon … bref à profiter du plain air.

Une bonne heure plus tard, on repart, direction la Brière non sans avoir cherché sans succès le Dolmen de Sandun, et ce soir, je vois sur la carte qu’en réalité , c’était le Dolmen de Kerjacob qu’il fallait chercher. Raté donc, on ne saura donc jamais si ce dolmen existe vraiment !

La route continue vers la Brière et ses itinéraires cyclables en bordure du parc. Très agréable d’autant qu’il fait très beau, le sous-bois l’est donc tout autant. La photo traditionnelle des barques dans le parc, des toits de chaumes … bref, tous les clichés sont au rendez-vous.

En plus l’itinéraire est facile et avec le GPS, la route se fait toute seule à 15kms/h de moyenne, ce qui nous fait arriver au camping assez tôt : 15h30 et 35kms au compteur !

Pour le bonheur des enfants, celui-ci comporte une aire de jeux avec boudins gonflables qu’on inaugure aussitôt.

La tente est montée et évidemment inaugurée aussitôt elle aussi. La fin d’après-midi est tranquille et on profite des enfants par de bonnes parties de foot et de cache-cache.


  • Mardi 26 Avril : St-André-des-Eaux – Guenrouët : 60kms
Clément fait bien attention à son frère
"Vers l'infini et au-déla ....de la passerelle"
Martin .... en vrac
"médaille d'or de la chambre à air" ... (Clément)
les 2 compères à l'apéro
A table !

Et maintenant, quelques images signés d’un certain C.

une bouteille de lait (important la légende)
une poule

Et enfin, la photo mystère du jour (toujours signé d’un certain C.)

la photo mystère

Aujourd’hui, réveil …. 07h00 avec un Martin de mauvaise humeur. La nuit a été un peu fraiche et à force de bouger il se retrouvait régulièrement hors de son sac de couchage, il a du avoir un peu frais je pense car nous même on restait bien emmitouflé dans nos sacs. Donc ce soir , pas de question à se poser, Mr Martin dormira dans sa douillette et dans son sac, ce qui devrait limiter ses mouvements.
Je disais donc un Martin de mauvaise humeur, avec en plus son lait trop chaud, bref, tout malheureux le gars et en plus il ne peut même pas boire son biberon ,alors que d’habitude, un coup de bib’ et hop ça repart de bonne humeur. Il faudra un stage de 5s assis sur sa chaise à 10m de nous pour que Mr daigne boire son biberon ( à la bonne température maintenant) et arrêter enfin de réveiller tout le camping. Un Clément, pas trop bien réveillé lui non plus, avec lui aussi un bol de lait trop chaud …. conclusion, on a un peu perdu la main sur le petit dèj’. Finalement à force de batailler, tout le monde prend son petit dèj , s’habille et hop : ….. quoi ? Quelle heure ? 10H30 ? Nan, pas possible, on est déjà prêt ? Incroyable !
Un petit passage par le bourg pour les courses du pique-nique de la journée, de petits bonbons pour remettre tout le monde d’aplomb et enfin on prend la route. Un petit cafouillage nous fera zapper une partie dans la Brière mais en fin de compte vu le kilomètrage de la journée, pas bien grave car on y est déjà passé hier.
Nous rattrapons finalement la voie verte qui nous emmène vers Trignac. La route est très agréable, plate et sans trop de circulation, bref idéale pour le vélo.
S’en suit le passage de Trégnac et comme tout passage de ville en vélo, je déteste et on attend avec impatience de retrouver les petites routes.
On rejoint Montoir-de-bretagne par un bout de voie verte qui nous fait emprunter une passerelle au dessous de la voie express, impressionnant, bruyant. La voie verte elle est toute droite, sans doute une ancienne voie ferrée.
12h00, Martin se réveille et fait savoir qu’il a faim. Il faut donc trouver un coin à pique-nique, et pas si facile que ça d’en trouver un. Toutes les entrées de champs sont clôturées. C’est à Révin qu’on trouvera un table à pique-nique près d’un mare sans canard et d’un poulailler. Ce qui fera la joie des enfants et surtout de Martin. « Martin ? C’est quoi ? « « ouaf ! Ouaf ? » « heu non Martin, ç’est cot cot , ça! ». ça met Martin de très bonne humeur tout ça et il fait le pitre en mangeant son sandwish ! Rien que pour ces moments là, ça vaut le coup !
On repart donc, ce matin on a fait 25kms et il doit en rester au moins autant pour cet après-midi, voire même un peu plus !
C’est alors que surgit la départementale « D4 » qui doit permettre de rejoindre Crossac, qui aurait cru qu’un petite route blanche sur la carte serait aussi dangereuse, on s’est fait doubler par je ne sais combien de camions arrivant à toute allure … on les voit arriver dans les rétros et quand ils sont à notre hauteur, on passe en apnée, on regarde bien loin devant et on attend que ça passe. Pfout ! Vivement la prochaine route à droite ! À éviter !
La suite est une alternance de petites routes de campagne toutes gentilles et de vilaines grosses départementales toutes méchantes pour les vélos. Et que dire du passage de St-Gildas-des-Bois : heurk ! C’est pas pour les vélos : grosses départementales vilaines et pentues et en plus en travaux, vivement nos petites routes communales. Les kms défilent et le relief change un peu, fini le plat payant, on retrouve le relief breton : de petites bosses suivies de petites descentes. Ça monte à 7kms/h et ça descent à 35kms/h . Quand tout à coup, en haut d’une bosse, je trouve que mon guidon réagit bizarrement, par accoup … késkispasse donc-t-il ? Ah, ben j’ai crevé dis-donc. Tiens Clément, toi qui voulait t’arrêter, ben ayé, on s’arrête, tu vas pouvoir faire des photos de tracteurs pendant qu’on change la roue. Réparation effectuée en un rien de temps, tellement facile d’enlever l’enveloppe de la roue par rapport à mon vélo de route ou il faut forcer comme un mamouth !
Les kms défilent et on n’est plus très loin de Genrouët maintenant. On décide donc d’aller au camping faire le gouter en passant par le bourg pour les courses du soir (en fait surtout pour les bières fraiches, car il a fait chaud aujourd’hui, venté, mais chaud, on est tout rouge des jambes Clément et moi)
Le camping est au bord du canal, la patronne est super gentille et apporte aux garçons des cloches en chocolat ! Heureusement qu’ils n’ont pas tout mangés celles de Quimiac, il y a de quoi faire avec celles-ci. Ils sont trops contents et trop heureux, c’est écrit sur leur figure. Je trouve Martin transformé, il fait le zouave et embête son frère, et avec son air coquin, fait des blagues, il est trop drôle !
Une journée idéale, un bon kilomètrage, des garçons adorables, heureux et tous crassous , bref, c’est le paradis ici avec une météo pareil …. moi je dis …. si vous hésitez à partir, et ben allez-y , c’est trop du bonheur !

Le tracé de la journée « Visualiser la trace »


  • Mercredi 27 Avril : Guenrouët – Camoël : 61kms
Début du canal de Nantes à Brest
Pause déjeuner à Téhillac
Martin, ballon au pied
Les 2 frères jouant au foot ensemble
Au barrage d'Arzal
et un tracteur .... un
Et une roulotte , une !
Et un Clément ... un
ça aurait pu être la photo mystère du jour

Létape du jour : Visualiser la trace

Ce matin, un petit rayon de soleil se réveille dans la tente à 07h45 , Martin me fait un merveilleux sourire, c’est adorable, il est de bonne humeur et me fait tout plein de calins. Je lui donne ses voitures et il patiente en jouant jusqu’à 8h30 , heure du levé officiel.Petit dèj de champion avec des lait au chocolat à la bonne température, tout est pour le mieux. Le ciel est un peu voilé, mais il fait très bon.
La patronne discute avec nous de vélos couchés et de chairiote et nous avons même le droit à la photo lors du départ pour la pub de leur site internet du camping. Très sympatique tout ça.
Résultat des courses : départ à 11h00 pour le canal de Nantes à Brest.
Le revêtement n’est pas extra, et un entretien des arbres pas trop bien nettoyé, ce qui fait qu’il faut bien surveiller où on pose ses roues.
On rencontre assez peu de monde, même sur ce tronçon pourtant réputé pour la voie verte, et c’est surtout des retraités que nous croisons avec le sourire. C’est ça qui est génial avec notre convoi. Les gents sourient en nous voyant ! Ça nous change de notre séjour à la capitale où tout le monde fait la gueule dans le métro. Ici, tout le monde est sympatique, on nous demande régulièrement quel est notre parcourt et le tandem attire beaucoup de question surtout sur le fait que Clément puisse pédaler.
Un passage de barrière plus tard et pong ! 2Ème chute de la journée pour Cyclotin, la première aillant eu lieue lors du départ du camping ce matin, lors de la séance photo ! Mais rien de grave, celles-ci ont lieu en étant quasiment à l’arrêt, Clément n’a même pas eu une éraflure, mais je maintiens le port de gant de vélo pour lui.
L’heure tourne et au bout de 15kms , il est temps de laisser le canal , bien calme d’ailleurs (aucun bateau , peu de cycliste), et assez monotone en fin de compte même si on respire le plein air, on aime bien ne pas trop faire de canal. Cette fois-ci 15 bornes est la dose idéale. On quitte donc le canal pour se diriger vers la Vilaine via Téhillac et une belle entrée en côte, en haut de laquelle se trouve le terrain de sport municipal, idéal pour une pause casse-croûte. Un coin d’herbe et un bel espace de jeu pour les garçons qui commencent à jouer ensemble au foot, même si Clément tire dans le ballon comme un bourin et que le pauvre Martin ne fasse que le suivre. De temps en temps il arrive quand même à lui voler le ballon. C’est super de les voir ainsi, Clément prend même petit Martin par la main pour l ’emmener avec lui faire des bêtises !
Le parcours plat du début laisse place maintenant à de belles bosses et l’arrivée à La Roche Bernard nous laisse craindre de beaux dénivelés, ce qui nous fera changer l’itinéraire du départ pour contourner la ville et ainsi éviter celui-ci. Mauvais plan, car la circulation est un enfer, du monde, des camions et en plus des travaux. Décidément, on n’est pas copains avec les traversées de villes. On retrouve finalement l’itinéraire de départ après un long détour, ce qui viendra rajouter au kms de la journée. Enfin de belles petites routes sans circulation, comme on les aime.
On y croise d’ailleurs un équipage surprenant : un couple de jeunes avec une cariolle, ou plûtot une vielle caravane attelée avec 2 chevaux et qui se ballade sur les petites routes. On se serait bien arrêter pour taper la discute, mais là , pas possible, on était en pleine vitesse dans la montée et du haut de nos 6 …. que dis-je 5,5kms/h sur le dernier pignon du petit plateau, il était inconcevable de s’arrêter. D’ailleurs, on en aura fait des montées à cette allure aujourd’hui, de quoi se rappeler les meilleurs moments de notre périple dans le Lot !
Mais voilà que je m’aperçois que la roue de la chariote est crevée, décidément, 2 crevaisons en 2 jours, et il nous faut nous arrêter à coté de l’église de Ferel pour réparer. On en profitera pour y faire la goûter mais sans trop nous y attarder tellement qu’il y a de courants d’air près de cette église. Mais pourquoi donc est-ce toujours le cas ? Alors qu’on aurait pu se prélasser au soleil, à l’abri du vent, et ben non, ce doit être fait exprès, pour ne pas y lézarder justement.
Bon, donc, on reprend la route avec une chariote qui tient la route cette fois-ci, pour se diriger vers le Barrage d’Arzal qu’on atteindra à 18h00, pile pour la levée du pont et du passage des bateaux dans l’écluse. Un vrai spectacle pour Clément.
Spectacle qui aura quand même duré 30mn et il nous faut reprendre la route pour atteindre Camoël y faire les courses et trouver le camping. Heureusement qu’on a d’ailleurs demandé à la vendeuse de la superette où était le camping, sans quoi, on ne serait jamais allé aussi loin pour le trouver.
La prochaine fois, je mes les coordonnées GPS des campings et tant qu’on y est dans les améliorations, je vérifie qu’il y a bien une supérette dans les Bleds qu’on traverse, car celle de Camoël était un peu minimaliste (mais suffisante quand même). On arrivera finalement au camping vers 19h30, bien contents d’arriver au bout de cette étape de 61kms.
Les garçons trouvent encore suffisamment d’énergie pour jouer au ballon et s’encrotter, mais ils s’amusent et profitent et c’est bien là l’essentiel !


  • Jeudi 28 Avril : Camoël – Quimiac 58kms
Petit dèj au frais et au soleil
Doublé par les tracteurs !
Pique-nique plage du Maresclé
Le fameux "combien ça fait 1 6 6 4" ?
Tentative de mettre les pieds dans l'eau ..... échouée
Pause rigolade pour les 2 frères
Cliché
La photo mystère du jour (facile)

Visualiser la trace

Réveil matin , pardon, réveil Martin : 07h15, lever : 07h45 après quelques vroums vroums de voitures dans la tente suivis d’escalade d’un bout à l’autre de celle-ci histoire de bien réveiller tout le monde.
Je décide de me lever , car à la question : « Martin, tu veux manger ? » nous obtenons un sympathique mais ferme « Oui ».
Mais brrr, il fait frisquet ce matin, les gars devront mettre leurs pulls et vestes. Je prépare à l’aide de Martin qui sort les bols , le petit déjeuner pendant que les 2 autres saucisses font leur loche dans la tente en attendant que le soleil arrive pour réchauffer la tente et de pouvoir prendre le petit dèj au soleil.
Niveau timing, c’est pas mal, on devrait être dans nos meilleurs chrono au niveau lever-pliage. Tout va pour le mieux, les garçons sont de bonne humeur et joue au foot dans le camping, Martin grogne car son frère lui pique tout le temps le ballon, bref tout va bien.
Je m’apprête donc à charger les vélos quand, au moment de déplacer Cyclotin, je m’aperçois que la roue avant fait un sale bruit de pneu crevé, ce que je constate effeictement.
Décidément, cette fois-ci on explose nos statistiques de crevaison : 3 en 4 jours ! Pas mal, surtout qu’on n’a pas réparé au fur et à mesure en pensant qu’en 4 jours, il n’y aurait pas besoin , finalement, on est juste et il ne faudrait pas crever encore une fois.
Par contre, cette crevaison fait apparaître un défaut de Cyclotin, c’est que celui-ci a des pneus avec des valves différentes des autres pneus et évidemment non compatible avec nos chambres à air de rechange. 2 solutions pour cet été : soit acheter des chambres à air compatibles, soit agrandir le trou de la valve, cette dernière solution nous permettrait de ne pas trimbaler plusieurs types de chambres à air.
11h00, est est prêt à partir, Cyclotin est à nouveau regonflé et opérationnel pour notre petite promenade qui va nous mener au bord de la côte. Paysage de plage cette fois-ci par les vélos-routes qui alternent quand même quelques bosses.
Nous nous dirigeons vers Penestin que nous traversons plusieurs fois sous l’oeil amusé des passants et après 01h30 de route et seulement 15kms , nous nous arrêtons pique-niquer sur la plage de Maresclé, idyllique : sable fin , ciel bleu et chaleur. La mer ? Un peu frisquette quand même.
Les enfants profiteront bien de cette pause.
14h00, on repart, direction Pont-Mahé, la route nous est familière et pourtant nous découvrons avec notre chargement qu’elle n’est pas plate du tout. On sortira de la départementale pour un passage théorique par le « Bois de Monchoix » mais qui à l ‘entrée su domaine affiche plusieurs panneaux « entrée interdite », « chemin privé », après discussion , nous décidons d’éviter la chevrotine du propriétaire et décidons donc de faire un détour afin de rejoindre Assérac.
Le tronçon qui suit entre Assérac et Pompas n’est pas extraordinaire malgré le fait d’avoir déjà fait le parcours en vélo de route, ce tronçon me semblait à l’époque assez tranquille mais c’était sans compter sur le fait de la déviation entre Assérac et Pont-d’armes qui fait passer le flot des voitures par notre itinéraire.
Pompas, 10s d’arrêt histoire de vérifier la carte et nous voici abordé par un vieux de la vieille qui commence à nous raconter sa vie, qu’il est né ici, qu’il a fait sa carrière à Nantes et que finalement il est revenu la ou il est né, que la DDE construit un pont après Assérac (tiens, on aura appris quelque chose aujourd’hui), qu’il va aller débroussailler son champs …. on a bien cru ne plus pouvoir partir !
La suite est un peu, comment dire … incertaine ? En fait, après avoir traverser la grosse départementale, les panneaux indicateurs nous montrent une voie sans issue en direction de Marongle, et pour avoir déjà fait ce bout en vélo de route, je me souviens avoir fait demi-tour à cet endroit mais sans pouvoir me souvenir de la raison : plus de route ou bien plus de bitûme ?
On décide quand même d’y aller sinon, il nous faudrait prendre la vilaine départementale toute rouge. Finalement, y a un chemin tout défoncé, marqué en tant que voie privée, mais qui nous mènera à bon port, ouf !
La suite est une succession de petites routes ultra-sympatiques , au milieu des maisons à toit de chaume et des champs à chevaux.
Petite pause goûter à Bouzaire, avec une bonne partie de rigolade en famille lors du visionnage des photos de Clément …. des tracteurs , bleu, rouge, orange ….. des gros plans de sa tête, bref, une séance ultra comique qui met tout le monde de bonne humeur et même Martin s’y met en se marrant à chaque défilement de photos.
La fin du parcours en un peu modifiée car en passant par les routes planifiées, je me rends compte avoir déjà eu des surprises concernant l’existence des chemins. On finira donc notre virée par Mesquer et un bout du tronçon du circuit du triathlon.
Encore une excellente journée, sous le soleil et dans la bonne humeur. On est prêt pour cet été moyennant quelques ajustements:

Régler l’histoire des chambres à air de Cyclotin
Déplacer le compteur vélo de Cyclotin
Régler les cales des chaussures de Cyclotine (difficulté à clipser)
Racheter un duvet d’hiver qui ne soit pas aussi obèse que celui que j’ai , si il pouvait être ultra compacte et compatible été-hiver ce serait bien
Acheter un sac compressible pour le linge sale.
Rentrer dans le GPS les coordonnées des campings
Bien vérifier que dans les bleds à coté des campings, il y ait une superette, histoire de ne pas se casser le nez.
Changer la sangle de l’appareil photo de Clément.

Pour le reste , on est plutôt pas mal !


  • Epilogue : le tracé complet
La boucle complète effectuée


  • Epilogue : La photo Gallery
2011-04-CycloCamping-PaysDeloire

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